Les esprits sans méchanceté me désolent autant que les méchancetés sans esprit...

Arno et Zabou sont en train de regarder un prédicateur sur la télé câblée de la villa espagnole où ils passent leurs vacances 2002...
Le prêcheur, le grand Professeur Caban, est face à la caméra et regarde son public 'dans les yeux'...
"Mes amis, j'ai un don. J'ai le don de guérir les gens et j'aimerai pouvoir faire profiter tous les téléspectateurs. Pour cela, c'est simple : si vous êtes malade ou si vous avez mal quelque part, placez votre main gauche sur le dessus de votre récepteur télé, et placez votre main droite sur la partie de votre corps qui est défaillante... Je vous promets que vous serez guéri !"
Zabou se lève alors de son fauteuil et s'avance vers sa télé. Cela fait deux jours qu'elle a mal aux cheveux et elle a bien envie de croire le prédicateur...
Aussitôt après, Arno se lève et s'approche lui aussi au plus près de la télé. Il met sa main gauche au dessus du poste et place sa main droite sur son entrejambes...
En voyant ce que fait son homme, Zabou fronce les sourcils et lui dit : "Dis donc Nono, il a dit qu'il guérissait les malades... il a pas dit qu'il ressuscitait les morts !"

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Après quelques dégâts matériels dus à des soirées un peu trop arrosées, la mairie de Blanes, en Espagne (...), condamne Olive, Mini-Moun' et Super-Mounoi à peindre la ligne jaune se trouvant au milieu de la route principale...
Chacun d'eux est assigné à un tronçon de route.
Le premier jour, Olive peint 2km, Mini-Moun' 1,5km et Super-Mounoi seulement 1km.
Le deuxième jour, Olive peint 1km, Super-Mounoi 2 km et Mini-Moun' 2,5km.
Le 3ème jour, Olive peint seulement 750m, Mini-Moun' 3km et Super-Mounoi 3,5km
Le responsable des travaux à la mairie de Blanes, stupéfait par le médiocre travail d'Olive, le convoque dans son bureau.
- Pourquoi n'avez-vous pas peint autant que les premiers jours ? Quel est le problème ?
- Il me serait facile de peindre plus, mais au fur et à mesure, le seau est de plus en plus loin...

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Celle-là je la personnalise pas...
Un couple marié arrive à l'hôpital pour la naissance de leur bébé. Le docteur leur explique qu'il a mis au point une nouvelle machine qui permet de transférer sur le père une partie de la douleur que provoque le travail de la mère lors de l'accouchement.
Il leur demande alors s'ils sont d'accord pour essayer cette machine. Tous les deux répondent très favorablement. Le docteur règle la machine à 10% de transfert de douleur dans un premier temps, expliquant que 10 % est déjà une valeur qu'aucun père n'a jamais éprouve auparavant.
Alors que l'accouchement suit son cours, le mari se sent bien et demande au médecin de monter d'un cran. Ce dernier ajuste alors le niveau de transfert de douleur à 20 %. Le mari se sent toujours très bien. Le docteur vérifie sa tension et s'étonne de son excellente résistance. Ils décident alors de monter carrément à 50 %. Le mari se sent toujours bien.
Voyant combien ce transfert de douleur soulage son épouse le mari encourage alors le médecin à transférer toute la douleur sur lui.
L'épouse accouche alors, pratiquement sans douleur, d'un bébé en pleine santé. Le couple est aux anges.
Lorsqu'ils reviennent à la maison, ils trouvent le facteur mort devant l'entrée..

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Il était une fois un Mounoi qui au cours d'une soirée tomba instantanément amoureux de trois jeunes filles.
Par respect pour ces demoiselles, il mit en place une procédure de sélection. Il confia à chacune d'entre elles, une somme de 2000 Euros qu'elles pouvaient employer à loisir durant tout un mois. A l'issue de ce mois il fut convenu qu'il choisirait celle, qui à son avis, avait le mieux utilisé cet argent.
Un mois plus tard il demanda donc aux trois jeunes filles de rendre
compte de leurs dépenses :
- La première lui expliqua qu'elle avait consacré la somme à des séances d'esthéticienne, de manucure, pédicure, et à un abonnement en salle de gym... car de son point de vue il était absolument essentiel pour une femme d'être toujours belle pour l'homme qu'elle aimait. Notre Mounoi partit troublé et séduit, rendre visite à.....
- la deuxième qui lui exposa ses dépenses : des dizaines de packs de bière, un abonnement a Canalsatellite, et un canapé très confortable. Elle estimait pour sa part qu'une femme devait tout faire pour contribuer au repos et à la détente de l'homme qu'elle aimait. Il la quitta touché et perplexe.
- La troisième quant-a-elle lui annonça d'amblée qu'elle n'avait pas dépensé l'argent mais qu'elle l'avait fait fructifier : les 2000 Euros étaient devenus 3000. Elle lui expliqua qu'elle souhaitait construire sa vie avec lui et qu'il était préférable qu'ils aient de l'argent de côté. Bien évidemment, la flèche atteint sa cible et notre Mounoi se trouva très embarrassé : les jeunes femmes avaient toutes les trois touché une corde sensible.
=== Mentionnons pour conclure que son embarras dura peu, il choisit fort logiquement celle qui avait les plus gros seins.
Arrêtez de rêver les filles et retournez au boulot.
Un Mounoi reste toujours un Mounoi !

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C'est Olive qui rencontre son cousin Mat’, lequel travaille à Tours depuis quelques mois. Mat’ roule en 406, s'habille en Gucci, enfin, la classe, quoi.
Olive : “Putain, cousin, qu'est-ce que tu fais comme boulot à Tours ?
- J’travaille toujours chez l’Oreal, mais comme je le vaut bien, j’ai été promu dans la logique : je suis consultant en logique, auprès de grandes entreprises.
- Putain, c'est quoi, la logique ?
- Je t'explique : tu as une moto, Olive ?
- Ben oui.
- Bon, c'est parce que tu aimes les virées entre potes, hein ?!
- Bé oui.
- Et si tu aimes les virées entre potes, alors tu aimes les gens ?!
- C'est vrai aussi, putain !
- Et si tu aimes les gens, alors, tu aimes les femmes ?...
- Ca aussi, c'est vrai, putain, cousin, tu m'impressionnes, t’es fort en logique, ça m’plaît, ce boulot, putain !
Et ils se quittent.
Quelques temps après, Olive rencontre Mini-Moun’ et lui fait : “Putain, j'ai rencontré Mat’, tu sais, il travaille dans la logique, à Tours, et il se fait des couilles en or, putain !
- C'est quoi, ça, la logique ?
- Attend, Mini-Moun’, je t'explique : tu as une moto, hein ?
- Ben non !
- Oh, putain, alors t’es pédé !

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L'histoire se passe il y a quelques lustres. Dans une petite ville de province, un jeune étudiant dont les parents n'avaient que peu de moyens trouvait l'argent pour payer ses études grâce à des petits travaux tels que livraison de journaux, nettoyage des trottoirs, commissions pour les personnes âgées, etc. Aux gens de la ville qui lui demandaient si il pensait faire cela toute sa vie, le jeune garçon répondait systématiquement : "Quand j'aurai mon diplôme, je m'achèterai une voiture de sport et j'irai aussi passer une nuit dans la maison close à l'autre bout de la ville, pour me prendre du bon temps avec une des filles de là-bas. Et puis alors, je voyagerai de par le monde !”.

Un beau jour il obtint le diplôme tant convoité. Il fit alors comme il l'avait toujours dit : il s'acheta une voiture de sport d'occasion, et avant de quitter la ville, s'arrêta à la maison close locale. S'adressant à la tenancière du bordel, il dit qu'il désirait se faire dépuceler.
La mère maquerelle lui montra alors la grosse Berta, une Réunionnaise plantureuse. La fille lui dit : "Ça sera 10000 francs mon tout beau (il s'agissait d'anciens francs).
Le jeune homme fouilla dans sa poche et toute la somme qui lui restait ne dépassait pas 9500 francs. La grosse Berta resta intraitable : "Pas question de faire un rabais."
Déçu, le pauvre jeune homme allait sortir lorsque la tenancière l'attrapa par la manche. "Eh bien mon garçon, pourquoi es-tu si triste ?".
Le jeune garçon lui fit part de ses problèmes financiers et la tenancière prit un ton conciliant pour dire : "Allez, viens avec moi. Je vais te le faire disparaître, moi, ton pucelage". Et après lui avoir pris tout ce qui lui restait comme argent, elle l'emmena dans sa chambre.
Le soir même, le jeune homme quittait la ville dans sa voiture d'occasion, sans un sou, mais il n'était plus puceau.
Dix-sept années passent...
L'ex-jeune homme est de retour dans cette petite ville de province. Il vient rendre visite à tous ceux qui l'ont connu pendant ses années d'études.
Sa première étape est pour la maison close où c'est toujours la même mère maquerelle qui l'accueille...
- Mais... je vous reconnais vous ! Vous êtes le jeune homme qui n'avait que 9500 francs en poche et qui voulait se faire dépuceler !
- Oui, c'est bien moi, avoue l'ex-jeune homme en rougissant.
- Il faut que je vous montre quelque chose. Venez avec moi.
Et là dessus, elle l'emmène dans l'arrière-cour de la maison, là où un jeune adolescent est en train de fendre du bois à la hâche. Lorsqu'ils arrivent près de lui, elle lui dit : "Mon fils, voici ton père."
Aussitôt, le regard de l'adolescent resplendit du plus beau des sourires. Il prend les mains de son géniteur et lui demande : "Monsieur, ou devrais-je dire papa, puis-je connaître votre nom ?".
- Je m'appelle Freddy Vandekerkove..., répond l’homme abasourdi.
Le jeune homme fait une sorte de grimace et répond : "Quoi ? Alors ça veut dire que je suis à moitié belge ?!?!"
Et Freddy lui dit : "Ça aurait pu être pire, mon garçon ; si j'avais eu cinq cent anciens francs en plus, tu aurais été Mounoi !"...


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Archivages des Blagues du Jour : Juillet 2002 / Juin 2002